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Coopération internationale  | © Photo Comundo
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Comundo – Ensemble, apportons un vrai changement

Donner plus de sens encore à ses compétences professionnelles et vivre une expérience de vie unique ? C'est possible, par le biais d’un engagement à l'étranger avec Comundo ! Ton savoir-faire permettra d’améliorer durablement les conditions de vie des enfants, des jeunes et des personnes âgées.

Sur la base de contrats d'un à trois ans, nous engageons des professionnel·le·s qualifié·e·s comme toi auprès de nos organisations partenaires en Afrique et en Amérique latine. Sur place, tu contribues à développer des solutions à des problèmes urgents: des possibilités de formations ou de revenus pour des jeunes, des mesures de protection du climat et de l'environnement, la sensibilisation et la promotion de la paix dans des zones de conflit, ou encore le renforcement des droits des populations indigènes.

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Nos coopérant·e·s sont des gens comme toi: découvre leurs témoignages
 

 L’envol du colibri...

Baignée dans l’interculturalité, Marisol a été sensibilisée à la cause environnementale par son père, suisse, et aux inégalités sociales par sa mère, d'origine nicaraguayenne. Bercée par leurs récits de vie, ils lui ont aussi raconté des contes inspirants, comme l’histoire amérindienne du colibri, petit oiseau courageux qui jetait quelques gouttes d’eau sur une forêt en feu... Elle vit aujourd’hui ce conte d’enfance, et fait sa part en Bolivie en œuvrant au renforcement de la sensibilisation environnementale.

Connaissez-vous la légende amérindienne du Colibri ? Voici comment mon père me la racontait : « Un jour, la forêt était en feu. Les animaux terrifiés et désemparés assistaient à ce funeste spectacle. Tous, sauf le petit Colibri qui s'activait en allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. “Mais que fais-tu ?!”, s’étonna l’un des animaux, un brin moqueur. “Tu ne parviendras pas à éteindre l’incendie !”. “Je fais ma part”, répondit simplement le petit oiseau, poursuivant ses allers-retours sous le regard incrédule des spectateurs… »

Changer le cours des choses


Cette histoire m’a beaucoup inspirée. Elle démontre qu’il est important d’agir et que la somme des gouttes d’eau apportées par tous les colibris peut changer le cours des choses. Mes nombreux voyages au Nicaragua m’ont permis de voir de près aussi bien la pauvreté́ que les problèmes de pollution, et contribué à mon envie de m’engager en faveur d’une société́ plus juste. Je me suis très tôt fait la promesse qu’un jour, je ferais profiter d’autres de la chance dont j’ai bénéficié́ : celle de grandir dans un pays où l’on ne manque de rien. Ainsi je me suis lancée, en 2011 déjà, au sein de l’Association de Jumelage Bienne-San Marcos (Nicaragua). Puis il y a eu toutes ces expériences, ces voyages personnels et stages linguistiques (Russie), humanitaires (Népal) ou professionnels (Burkina Faso).

« Cela fait de nombreuses années que je songeais à m’engager dans la coopération internationale. »

Cela fait de nombreuses années que je songeais à m’engager dans la coopération internationale. Enfant, je vouais une grande admiration pour Médecins sans frontières. Malheureusement, les sciences exactes n'ont jamais été mon fort et je me suis révélée plus habile en écriture, en étude des langues et des cultures, et j’ai dirigé mes études dans cette voie (Sciences humaines puis Journalisme et Communication). Alors quand j’ai découvert Comundo, qui recrute pour différents corps de métiers, et compris qu’il m'était possible de mettre ma plume au service d’une cause qui me tient à cœur, je n’ai pas réfléchi à deux fois pour me lancer dans l’aventure. Mon cœur a toujours balancé entre journalisme et travail social. Cette opportunité me permettait d'allier les deux. 
 

« Mon engagement est une évidence, et un rêve d'enfant qui se réalise enfin ! »

 

Il y a nécessité d’agir
 

A mon arrivée en Bolivie, J’ai rapidement constaté qu’il y a nécessité d’agir pour améliorer la qualité de vie de la population, préserver sa santé et celle de son environnement. Alors mon engagement auprès de mon organisation partenaire, le Grupo de Trabajo Cambio Climático y Justicia (GTCCJ), je le vois comme une évidence ! Et un rêve d'enfant qui se réalise enfin. Je suis reconnaissante d’avoir un travail qui me passionne et m’enrichît à la fois, de pouvoir me réveiller chaque matin avec la motivation de faire quelque chose qui a du sens et de l’importance à mes yeux. Je suis fière de faire partie des petits colibris et d’apporter ma modeste goutte d’eau pour éteindre le feu qui menace notre planète. Chaque goutte d’eau compte, et la mienne contribuera à faire la différence !

De Marisol Hofmann


Renforcer la sensibilisation environnementale

Sur le terrain depuis avril 2022, la journaliste du Jura bernois Marisol Hofmann s’engage avec le réseau bolivien "Groupe de travail sur le changement climatique et la justice" pour sensibiliser et donner davantage la parole aux jeunes Bolivien·ne·s.

 

Son projet consiste à produire du matériel d'information d’une part diffusable sous forme numérique, d’autre part destiné à influencer les politiques publiques. Elle accompagne aussi les jeunes lors d'actions publiques, et soutient plusieurs groupes dans leur activisme pour la défense de leurs droits.

 

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Marisol Hofmann

Journaliste / Spécialiste en communication
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S’engager et se sentir utile

Globetrotteuse, le moteur d’Elena Clénin c’est le dépassement de soi et la conviction de se sentir utile. Suivre ses rêves, découvrir de nouvelles cultures et réalités, se lancer de nouveau défis et sortir de sa zone de confort, tout cela l’épanouit. Alors elle a décidé d’en faire son fil rouge professionnel et de s’engager comme coopérante au Pérou.

 

Mon baccalauréat en poche, je suis partie 6 mois en Australie et en Asie, un premier choc positif et décisif. Rentrée en Suisse, j’ai étudié la communication dans le but d’utiliser mes compétences à l’étranger. Puis j’ai pu vivre un premier engagement en Colombie, mais 4 mois plus tard le Covid19 m’a forcée à rentrer au pays. Frustration ? Sentiment d’inachevé ? Non, cette expérience m’a convaincue de retourner vivre et travailler en Amérique du Sud. Et j’ai mis tout en œuvre pour cela !

« C’est lorsque je suis mes rêves et que je découvre un nouveau pays, une nouvelle culture et un nouveau défi, que je me sens la plus épanouie. »

Faire une différence positive
 

Un stage de communication chez Eirene Suisse m’a fait découvrir la coopération internationale par l’échange de personnes : j’y ai vu l’opportunité de travailler dans mon domaine avec une organisation locale pour l’aider à se développer et à faire une différence positive. C’est alors que j’ai entendu parler pour la première fois de Comundo. Et très vite j’ai pu accomplir leur processus de recrutement et d’évaluation et m’engager comme coopérante au Pérou durant une année, sur la base d’un « contrat junior » au vu de mon âge et de mon expérience professionnelle. Un de leurs partenaires au Pérou leur avait fait part d’un besoin correspondant à ce que mon profil pouvait leur offrir.

« J’ai découvert la coopération internationale par l’échange de personnes : l’opportunité de travailler dans mon domaine métier avec une organisation locale pour l’aider à se développer et à faire une différence positive. C’est alors que j’ai entendu parler pour la première fois de Comundo. »

Montrer l'impact de l'exploitation minière sur les enfants et les jeunes
 

Je me suis envolée en août 2021 pour Lima. J’y soutiens le département communication de l’organisation Red Muqui, un réseau de 29 organisations péruviennes qui travaillent en faveur du développement durable, de la protection de l'environnement et des droits des populations affectées par l'exploitation minière. Son but est de rendre visible l'impact de l'exploitation minière sur les enfants et les jeunes, et je contribue à sa stratégie de communication nationale et internationale. L'une de mes tâches prioritaires est de recueillir leurs témoignages pour sensibiliser les publics.

Passés les aménagements d’une vie sur place, qui plus est en période de confinement, le plus dur a été d’intégrer une autre manière de travailler et une quantité importante d’informations. Sur le plan personnel, il m’a également fallu m'habituer aux retards fréquents, aux changements de dernière minute et à la spontanéité. Mais ceux qui me connaissent savent que c’est dans ma nature ! 

Aujourd’hui, tous les signaux sont au vert : je me suis parfaitement habituée à la vie ici, je me sens à ma place et chaque jour j'apprends quelque chose de nouveau, aussi sur moi-même. Et visiblement, cela convient à la direction de Red Muqui et à Comundo, puisque mon contrat a été prolongé d’une année. De quoi continuer à contribuer à une cause, de m’y investi pleinement, et d’aller de l’avant dans la carrière dont j’ai rêvé tout en ayant un mode de vie qui me convient.


Protéger des effets de l'exploitation minière

Elena Clénin, spécialiste en communication vaudoise, s'engage pour le renforcement des droits notamment environnementaux des enfants et des jeunes, et pour la défense de leurs intérêts auprès des politiques et du public.

 

Son projet vise à mettre cette thématique à l'ordre du jour politique, afin que les sociétés minières soient tenues responsables et qu'elles respectent les normes sociales et environnementales. Il profite essentiellement aux enfants et aux jeunes, dont les droits à un environnement sain et intact, actuellement bafoués, seront renforcés.

 

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Elena Clénin

Spécialiste en communication
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« Qui veut encore d’un expert-comptable à la retraite ?? »

De la banque et la finance à la coopération au développement : comment est-ce possible ? L'engagement de Daniel Rafferty montre les virages possibles d’un parcours professionnel, jusqu’à lutter contre la pauvreté et améliorer l'éducation primaire en Namibie.

« Qui veut encore d'un banquier retraité à 66 ans ? ». Je dois avouer que cette pensée m'a régulièrement traversé l'esprit depuis que j'ai postulé pour un engagement à l'étranger avec Comundo. Jusque-là j’ai été béni, je ne parle pas de manière religieuse non, je veux dire que j'ai traversé la vie en bonne santé, j'ai une femme merveilleuse et quatre enfants adultes en bonne santé, et j'ai eu une vie professionnelle passionnante avec une place attractive sur le marché du travail. J'ai même pu voyager plusieurs fois en Inde pour mon employeur, le Crédit Suisse. Mais mon engagement actuel de deux ans dans le domaine de l'éducation en Namibie est radicalement différent. 

Les défis professionnels m'attirent
 

J'aime les nouveaux défis. C'est ce qui s'est passé lorsqu'à 56 ans, en plus de mon travail de Project Manager, j'ai assumé la charge politique de chef des finances de la commune de Greppen dans le canton de Lucerne. Alors pourquoi ne pas mettre à profit mon expérience du monde de la finance dans un tout autre domaine ? Dans un domaine utile comme la coopération au développement ? Qui s'attaque aux problèmes urgents de ce monde et cherche des solutions. Cette idée a fait son chemin en moi, et c'est pourquoi j'ai frappé à la porte de Comundo avec succès en 2021.

« Nous vivons dans un monde d'indifférence globalisée » 

 

Renforcer les capacités, exactement mon approche
 

En Namibie, je conseille désormais le ministère de l'Éducation de la région du Kavango-Est, une région au nord du pays particulièrement touchée par la pauvreté. Pour améliorer la qualité de l'éducation dans un pays, les enseignant·e·s et leurs méthodes ne sont pas les seuls facteurs déterminants : la gestion des écoles et une planification financière efficaces aussi sont nécessaires pour que les salaires soient correctement payés ou que les écoles les plus isolées reçoivent un budget pour du matériel pédagogique ou des infrastructures. 

Des contradictions flagrantes
 

Je vis des contrastes assez saisissants par rapport à mon précédent emploi : WhatsApp est ici l'un des principaux outils de communication professionnelle et presque personne ne possède d'adresse e-mail. J'ai également dû m'habituer à une nouvelle gestion du temps, ou aux longues files d'attente devant les banques lorsque c'est jour de paie et que tout le salaire est immédiatement retiré et investi.

Les deux papes
 

« Nous vivons dans un monde d'indifférence globalisée ». Cette citation tirée du film 'Les deux papes', de Fernando Meirelles (2019), décrit pour moi avec justesse le problème fondamental de notre époque. C'est pourquoi je me suis engagé. Je voulais agir contre cette indifférence dans le monde et je suis heureux d'avoir trouvé un endroit où il est possible d’apporter mon expérience et mon savoir-faire.

De Daniel Rafferty


Renforcer l'éducation
dans tout le pays

Au cours de sa mission de deux ans, l'expert-comptable diplômé de Greppen conseille le ministère namibien de l'éducation dans le domaine des finances, des ressources humaines et de la gestion.

 

Par la suite, les apprenants de la région de Kavango-Est et du pays tout entier bénéficient de meilleures conditions d'apprentissage ; cela améliore durablement leurs chances de formation et d'avenir.

 

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Daniel Rafferty

Expert-comptable
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« Nous avons la chance de payer des impôts ! »

Pour protéger correctement les enfants de la violence, il a toujours pu compter sur des structures étatiques qui fonctionnent. Travailleur social, Hannes Gfeller a fait ses adieux à cette idée. Car en Zambie, ce constat n'est plus valable.

Ma profession a pour but de prévenir, atténuer ou résoudre les problèmes sociaux des individus ou des groupes dans une société. Travailleur social dans le domaine de la migration et de la protection de l'enfance, en Suisse j'ai toujours oeuvré directement ou indirectement pour des institutions publiques et évolué dans un champ de tension entre aide et contrôle. Et j'ai pu compter sur les conditions cadres stables et efficaces proposées par les services de la Confédération et des cantons, car nos pouvoirs publics se sont dotés des ressources nécessaires. Cela a fait de moi un fervent défenseur d'un État social fort. 

Or en 2020 j'ai débuté avec Comundo un engagement en Zambie qui m’a immergé dans un tout autre contexte. Pour y soutenir une organisation partenaire, les Salésiens de Don Bosco, et renforcer leurs structures de protection de l'enfance dans les écoles et les centres de loisirs. 

Suisse - Zambie, peu de différences sur le papier 
 

Sur le papier, ces structures en Zambie ne diffèrent guère de celles que je connais en Suisse. Mais pour leur mise en œuvre, le manque de personnel et surtout de finances est criant. Services sociaux et autorités de protection de l'enfance y sont souvent en sous-effectif, et les moyens d'intervention dans les situations de vulnérabilité quasi inexistants. J'ai donc vite compris qu’ici je ne pouvais pas m’appuyer sur les services existants comme en Suisse, où l’administration s'occupe de manière appropriée des enfants vulnérables.  

«Cette engagement m'offre personnellement un autre point de vue sur notre Etat social suisse.» 

 

Les organisations non gouvernementales compensent les tâches de l'État 
 

Au vu des services étatiques inefficaces ou inexistants, en Zambie on mise fortement sur la société civile. L'engagement bénévole pour une bonne cause, l'aide aux voisin·e·s et le soutien financier aux connaissances sont ici une norme du quotidien. Mais elle est complétée par les ressources et les structures d’organisations ecclésiastiques ou d’ONG. Dans le domaine de la protection de l'enfance, cela prend la forme de conseils aux parents en matière d’éducation, de conseils juridiques, ou de foyers pour enfants gérés grâce à des dons. Mais la coordination et le contrôle qualité du travail des prestataires restent un défi. Et l'accès à ces services par les publics cibles l'est encore plus. 

Mettre en réseau les services et en faciliter l’accès 
 

Don Bosco gère 14 centres dans quatre pays du sud de l'Afrique : des écoles, des centres de jeunesse, des paroisses et des foyers pour enfants. Alors, grâce à mes compétences et mon expérience, je les soutiens pour définir où nous pouvons compter sur l'État zambien, et où ils devraient assumer de manière subsidiaire les tâches de l’Etat, pour mieux protéger les enfants de la violence et des abus. Et faire en sorte que, en plus que d’être en sécurité dans ces centres, les enfants puissent aussi connaître et user de leurs droits. Pour cela, nous construisons des réseaux entre les diverses organisations, exploitons les synergies possibles et rendons les informations plus accessibles. Des activités somme toute typiques pour un travailleur social. Et si le travail direct avec les jeunes et les enfants me manque, je me réjouis que ma contribution puisse avoir un impact à une échelle plus large.

Un nouveau regard sur l'État social suisse  
 

Personnellement mon engagement m’amène aussi cette réflexion, sur le respect des droits de l'enfant dans le monde et sur notre État social suisse : je suis encore plus conscient à quel point il est précieux de pouvoir compter sur un État social et juridique fort et qui fonctionne. En bref : que nous avons la chance de payer des impôts.

De Hannes Gfeller


Mieux protéger les enfants

Le travailleur social Hannes Gfeller soutient les écoles Don Bosco en Zambie dans l'introduction d'une politique efficace de protection des enfants et de prévention de la violence envers les enfants.

 

Ainsi, les cas de violations des droits de l'enfant peuvent être mieux recensés dans les écoles et des mesures adéquates peuvent être prises pour y remédier.

 

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Hannes Gfeller

Travailleur social
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